Croisière fin de saison du 29 octobre au 1er novembre

Voyage très agréable de Paris à Hyères avec d’autres voileux ; Philippe nous accueille à la gare pour nous guider jusqu’au port et à notre bateau.

Une fois à bord de DIMITILE, beaucoup de questions de Dominique ravi de sa 2ème participation à une croisière VCL qui, il en est certain, se terminera de façon moins fébrile pour lui que celle de Saint Malo. 😊

Une fois, nos chambrées « quartiers » désignés par Lucas, il nous reste plus que l’avitaillement à récupérer. A peine arrivés au quai de chargement, un beau gaillard nous voyant en tenue seyante de marins, nous aide à tout ranger avec astuce, dans la microscopique Fiat 500, tous les sacs de victuaille, pack d’eau, bières et alcool fort. Puis l’aide de l’équipage présidentiel de CIPANGO sera fort appréciée pour transporter nos nombreux paquets qui trouveront ensuite leur place dans notre 44 pieds grâce à l’ingéniosité de Ben et Lucas.

Repas habituel au restaurant Tocco, proche du port de Hyères avec une belle tablée de 11 valeureux marins ; 2 personnes manquent à l’appel, car en proie avec les retards, on ne dira pas de qui, SNCF ou autre ? Une fois de retour sur notre bateau DIMITILE, les langues peu à peu se délient, la bonne humeur règne en attendant nos petits marins, grâce à notre potion magique, le Diplomatico, un rhum de grande qualité qui nous sera utile pour user de diplomatie à plusieurs occasions lors de ces 4 jours.

Drapeau Arc-en-ciel flottant fièrement Le bateau présidentiel avait, pour cette croisière de fin d’année, émis le souhait de faire 1 ou 2 régates, contre les jeunes. Fort de notre expérience au Havre sur J80 et cette fois-ci sur un 44 pieds, nous nous nous levons ce samedi matin en douceur ; quelle ne fut pas notre stupeur d’apercevoir déjà dans le chenal, le bateau présidentiel qui s’élançait à neuf heures précises, dans le but de gagner cette première régate avec comme point de chute, la plage des Brouis.

Par diplomatie nous lui donnerons une certaine avance …

Ce samedi à 10h sous un soleil naissant, nous nous élançons toutes voiles dehors avec une bonne mer et un bon vent, malheureusement au près en direction de la plage de Brouis dans le golfe de Cavalaire face au domaine de Gigaro. Un vrai temps de Jeunes Filles … Repas du midi très agréable mais déjà, les marins de la cambuse s’aperçoivent qu’il manque des denrées de première nécessité, la bouteille « Diplomatico » ayant été bue et bien appréciée la veille. Ben propose alors de trouver du SPARE au SPAR local de la plage de Giraro.

On reviendra malheureusement bredouille de la virée au Spar et il faudra se serrer la ceinture !

Malgré l’arrêt au stand SPAR et tous nos virements de bord pour atteindre les Brouis, nous sommes les premiers à la plage. Nous sommes inquiets de ne pas voir le bateau présidentiel. De ce fait, en attendant, nous goûtons aux joies de la mer Méditerranée à 21 degrés en ce 29 octobre.

Bien qu’ayant perdu la régate, et beaux joueurs comme à leur habitude, nous sommes conviés par l’équipage de Cipango sur le bateau Élyséen.

Une fois rentrés à bord de Dimitil, la soirée démarre avec moults échanges animés, bon repas et dépenses énergétiques en tous genres accompagnés de nombreux liquides, avec le traditionnel coup de gueule du capitaine : « C’est pas Versailles ici ! » et le fameux « La vaisselle aux grandes eaux ! »

Ce dimanche matin, le bateau Élyséen, un peu vexé de sa défaite de la veille, nous quitte le premier. Puis nous quittons au moteur ce lieu, puisque les batteries étaient presque vides et prenons une route plus au sud ouest pour chercher le vent, mais en vain. Les voiles étaient hissées mais le vent était si faible que notre 44 pieds se dandinait sans avancer. Nous remettons le moteur.

Comment on a pu arriver les derniers alors qu’on a mis le moteur ? Là je suis perdu … Était-ce encore une fois par diplomatie ?

Alors que nous nous traînons lamentablement sur cette mer aux reflets d’argent, on nous avise que les pâtes sont prêtes sur le bateau Élyséen, alors que nous sommes encore en pleine mer. Nous faisons donc fissa et mouillons nos 25m de chaîne dans l’anse de Port Man. Les paddles gonflés pendant notre virée, sont immédiatement mis à l’eau, et de 7 à 77 ans, on s’ébat dans ce lieu magnifique. Nathan, fier comme Artaban, est parti draguer un bateau voisin dont l’équipage nous semblait aussi un peu « pirate » et tentons de le rallier à notre cause.

Au moment du café, Dimitile est abordé par un zodiac de surveillance des Eaux et Forêts de l’Île de Port-Cros, composé de 3 charmants gardes forestiers qui nous interrogent sur notre longueur. Un peu interloqués, ne sachant pas avec leurs beaux sourires, de quelle longueur il s’agissait, nous finîmes par lâcher d’une seule et même voix que nous avions 44 pieds sous les pieds. On nous indique alors que les bateaux de 14m était « persona non grata » à l’avenir dans l’anse, seuls les 12m ou 38 pieds avaient le droit de s’y mouiller. Ouf, nous venions de réviser les pieds, les pouces, les yards, les gallons, les litres ! Sans nous démonter et de notre expertise des poids et mesure devant ces sourires « ultrabrite », nous leur proposons alors un café pour faire oublier nos 6 pieds de trop ; s’ils n’avaient pas été en service, ils auraient sans doute sauté à notre bord.

Une partie de l’équipage de Dimitile, accompagné de Didier, rejoint la terre ferme pour traverser la jungle de Port Cros en nourrissant l’espoir, telle Lady Chatterley, de recroiser un des beaux gardes forestiers.

Tout l’équipage de DIMITILE retrouve ensuite la civilisation au mouillage de Port-Cros. Lucas, Nathan et Dom se mettent aux manettes pour nous préparer aux petits oignons LA Soirée Halloween que nous avions prévue à Paris. Mais en coulisse, d’autres idées naissaient et notamment celles de devenir de charmants pirates. Du « rooftop » à la cambuse, tout l’équipage se met alors en effervescence pour rendre cette soirée mémorable et transformer Dimitile en bateau pirate paré de lampions rouges et de toiles d’araignées.

Avisé de la soirée Halloween, prêt à parer tous les dérapages, nous invitons CIPANGO présidentiel à cette soirée festive sous le thème « pirates ».

A 19h00, un canot s’approche dans la nuit et monte à bord, éclairé par une lumière blafarde ; de l’échelle de coupée, sort le Capitaine de Frégate, le comte Philippe de la BraguettHyeres, en tenue d’époque et accueille les convives sans son mousquet. Lucas Sparrow sort à son tour, entouré de ses moussaillons. Au « rooftop », nous sommes 13 à bord bien serrés les uns contre les autres (hummm), mais encore aucun attaché au mât ! Belle et agréable soirée en musique, champagne et alcools en tout « genre » pour de vrais marins. Rassasiés, nous lâchons les membres du bateau présidentiel, à l’exception de Didier, gardé en otage pour éviter un coup de Trafalgar du bateau élyséen pendant la nuit. Notre otage, admiratif de la proportion avantageuse des 6 pieds supplémentaires de Dimitile et la promesse d’être attaché au mât, reste donc à bord et la soirée se poursuit avec une cérémonie des perruques mémorables pour élire le plus beau pirate évaporé en blonde sulfureuse, aidée par notre maquilleur pro bien aimé d’exception.

Didier abattu et ses vêtements lacérés (c’était un rêve !!), les pirates le guident pour le mettre aux fers. Dans la fraîcheur de la nuit, tout l’équipage de Dimitile se met en quatre finalement, pour donner à notre hôte bien sympathique, la couchette double plus accueillante du carré. Chacun apporta une couverture, des pulls, de quoi passer la nuit en toute quiétude … Hum Hum avec 7 gaillards à bord …

Lundi au réveil, nous sommes assaillis par des gamins, en quête de bonbons d’Halloween. Avec notre diplomatie habituelle, nous leur proposons notre décor et ils s’en vont ravis et nous, pas peu fiers que celui-ci serve aussi aux prochaines soirées Queer pour Halloween du bateau voisin. A peine eurent-ils disparu que 2 beaux marins, adultes cette fois-ci, nous accostèrent pour demander si Antoine était à bord. Voilà ce que c’est que d’être connu, les paparazzis vous suivent même jusqu’à Port Cros !

L’équipage requinqué de Dimitile se mutine alors pour changer le programme de navigation pour continuer la fête vers l’île du Levant. Mais le capitaine Lucas Sparrow réussit à mâter la révolte en nous faisant miroiter d’autres riches soirées à Porquerolles. Nous amerrissons enfin sur la plage Notre Dame, mieux protégée car un coup de torchon est en approche. La soirée se poursuivra ensuite dans les fastes élyséens à bord de Cipango pour un apéro digne de notre bateau présidentiel.

Ce mardi matin, le Captain Lucas Sparrow avait changé de tenue pour celle du Capitaine Haddock, pour réveiller dès 8h30 le bateau sous un « Tonnerre de Brest » tonitruant ; le ciel est menaçant et sera suivi 30 minutes après d’un concert de tonnerre et d’éclairs s’abattant tout proche de notre vaillant Dimitile avec des gouttes épaisses crépitant sur le toit et la toile du roof.

Et comme toujours, après la pluie vient le beau temps, dans ce coin unique qu’est le Var avec ses îles paradisiaques de luxure et de richesses insoupçonnées.

Après le déluge, le luxe d’un bon verre en terrasse devant le port de Porquerolles. Et pour clôturer dignement ces 4 jours mémorables, un repas à bord digne d’un château, avec comme spectacle, de beaux marins en apprentissage, devinez quoi ? Des manœuvres de port sur un superbe catamaran !!!! Bref, une fin de croisière haute en couleur, sans aucune fébrilité et riche d’expériences variées.
CR co-écrit par Bob & Dom.

Les Éoliennes

Du 24 septembre au 01 octobre

Deux bateaux naviguant en flottille, un Océanis 48 et un Sun Odyssey 440 ; 15 participants répartis sur les deux bateaux ; une météo changeante alternant soleil, vent, grains ; une ambiance joyeuse à bord ; tous les ingrédients étaient réunis pour en faire une superbe croisière au cours de laquelle nous avons visité les îles de Salina, Lipari, Panarea, le Stromboli (où nous n’avons pas pu mouiller à cause de la météo), et enfin Vulcano et ses fumerolles de soufre.
Quelques cartes postales de cette croisière …

L’équipage de l’Océanis 48 “SPRITZ” vu par Aldo :
Huit heures. Le bateau me berce, mon corps oscille, un coup à gauche, un coup à droite.
La moka émet des gargouillis et une délicieuse odeur de café se répand dans la cabine.
Vincent est assis à la table à cartes et nous prépare une nouvelle navigation.
Sur le pont, on cause et on rit déjà.
“Tu as encore ronflé, Florent ! C’est pas moi, c’est Aldo ! Demande à Antoine !
Où est ma lavette jaune ? Sous tes fesses, Omar.
Alors Mathieu, ils ont enfin trouvé la toison tes Argonautes ?
Où est Arnaud ? Il a fait plouf, il se fait chatouiller par le menu fretin.
Philippe, réveille-toi, y’a l’ancre qui frétille !”
Allez, debout, une nouvelle journée palpitante commence…

Une journée de navigation vu par Arnaud :
Au lever, baignade dans la belle crique de la Spaggia Zimmari sur Panarea. Juste le temps de faire cuire le riz, on quitte le mouillage sous le soleil. Le vent fraîchit à mesure qu’on se rapproche du Stromboli qui pète. A Lipari, deux nuits plus tôt, nous avions déjà pu admirer comme une flamme de briquet sortant du
cône à intervalles réguliers. Le ciel se couvre, la mer grossit. Philippe, à la barre, a juste le temps d’ôter son chapeau vert façon Jacques Demy pour enfiler sa veste de quart. Nous passons le phare de Stromboliccho au plus près de la Terre de feu. Quinze jours plus tard, une coulée de lave va s’y produire. Ce jour-là, la mer est trop forte pour prendre une bouée devant le village comme nous l’avions prévu. Quelques ronds dans l’eau, à l’abri de l’île, nous permettent d’avaler la salade de riz dans les grondements et les effluves soufrées. Puis Aldo nous ramène en lofant de vague en vague jusqu’au port de Panarea, comme s’il avait fait cela toute sa vie. Malgré les conseils et la bienveillance de Cap’taine
Vincent, la prise de bouée est si laborieuse que seuls l’arabo-normand du bord, Florent, qui s’est jeté à l’eau, et Camille, venu à la rescousse dans son annexe, nous permettent de conclure.

Capo d’Orlando, Salinas, Panarea, Stromboli (sans arrêt), Panarea, Vulcano et retour, l’équipage de “Nantes” formé de Camille, Jean-Yves, François, Hugues, Jacques, Luc et Thierry est resté toute la semaine au taquet, aux manoeuvres, en cuisine, pour les apéros comme les baignades (eau à 26°, limite trop chaud).

Conclusion de Luc sur une chanson d’E. Macias :
Les gars à bord ont dans les yeux le bleu qu’il manquait au décor, les gars à bord ont dans le coeur le soleil qui n’était pas dehors (ndlr : il y a quand même eu du soleil).

Un été aux Baléares

Résumé : un soleil implacable, un vent qui va et qui vient, une voile qui s’en va, des mouillages de rêves, une mer turquoise et chaude, des villes pittoresques et animées, de la bonne humeur et de bons petits plats.

Que rajouter ? Une marina en plein centre de Palma permettant à certains d’aller régulièrement à la cathédrale dans l’espoir de la trouver ouverte. La majesté de Majorque avec ses montagnes et falaises tombant dans la mer. Le charme du village de Soller que nous visitons le temps pour le loueur de recoudre la voile qui s’est déchirée à la première brise. La beauté des calas du nord de Majorque malheureusement un peu trop fréquentées. Le calme retrouvé à l’abri de l’île de Formentor avant la ‘grande’ traversée.

L’arrivée au Sud Est de Minorque et ses petites calas sublimes et beaucoup moins fréquentées. Une île moins impressionnante, totalement plate mais avec deux villes pleines de charme. A l’est la capitale Port-Mahon et sa rade impressionnante. Dans la cathédrale reposent deux nobliaux bretons ayant gouverné l’île pour Louis XV, Minorque ayant été brièvement française. A l’ouest l’ancienne capitale Ciudadela et ses petites rues fraîches. Petits hôtels et grosses villas, Minorque vise un tourisme plus sélectif que sa grande voisine.

Retour à Majorque sur la côte Est avec ses plages barrées de grands hôtels et le ballet des bateaux touristiques qui gâchent un peu plages et calas. Puis cap sur Cabrera île principale d’une réserve naturelle quasiment vierge, l’occasion de s’exercer à la prise de bouée. Nouveau retour sur Majorque pour une dernière nuit au mouillage sur une longue plage en compagnie de dizaines de bateaux. Arrivée à Palma : Alleluia, la cathédrale est ouverte !

Enfin, le plus important, un équipage très complémentaire : Vincent skipper tout terrain, Frédéric second tous corps de métiers, Yves-Michel maître des théières (à moins que cela soit esclave de sa théière), Philippe avitailleur bilingue, Olivier puis Thierry L régimes spéciaux, Ben photographe discret, François arpenteur de cathédrale, et Thierry D commentateur de cet article.

Pâques dans les Calanques


Beaucoup de soleil, peu de vent, du frais et du presque chaud, le tout avec beaucoup de rhum : les ingrédients pour un week-end pascal réussi.

Nous étions donc 8 à nous retrouver jeudi soir sur le Vieux Port : Vincent, Philippe D, Thierry, Nathan avec Christian et Jesus, deux nouveaux adhérents, sur Tchin, un Dufour 421, et Ronan et David arrivés de Cardon (Montpellier) sur Wake up.

Vendredi : plutôt moteur, déjeuner devant à Riou et soirée dans la calanque de Morgiou que certains visitent. Au milieu de la nuit et sans annonce météo, le vent se lève. Sur les 5 bateaux au mouillage, 3 dérappent dont Tchin qui remouille rapidement. Le 2 ème bateau s’arrête à l’entrée de la calanque apparemment sans intervention de l’équipage et nous voyons le 3ème s’éloigner inexorablement en pleine mer.

Samedi : plutôt voile, une belle traversée jusqu’aux Embiez avec pause déjeuner à l’île verte avec vue sur le chantier naval de La Ciotat. Par chance nous réservons les 2 dernières places disponibles du port des Embiez. Petit tour sur cette île achetée et totalement aménagée par Paul Ricard.

Dimanche : plutôt moteur, courte traversée pour déjeuner entre Bendor et Bandol puis long retour vers la calanque de Sormiou pour une soirée bien arrosée et une nuit plus calme que 2 jours avant.

Lundi : plutôt moteur, Wake Up est reparti vers Montpellier et Tchin quitte les calanques en se faufilant entre l’île Maïre et le charmant petit port du cap Croisette avant de mouiller au port, plutôt la crique, de l’Eoube au nord des îles du Frioul. Christian ne manque pas l’occasion pour un bain rapide : à 15° maxi, il aurait été dommage de se priver. En milieu d’après-midi nous regagnons le Vieux Port et profitons un peu de Marseille.

Le contraste entre cette grande métropole bruyante et brouillonne, collée à un parc des Calanques aussi beau que désertique reste toujours aussi saisissant. Une belle croisière de début de saison.

25 septembre au 2 octobre Croisière « Côte d’Azur » au départ de Golfe-Juan

Onze personnes sur deux bateaux : 5 sur un Hanse 38.5, et 6 sur un Bavaria 37. Vincent : « En conclusion, superbe croisière avec une météo estivale et sur un terrain de jeu sur lequel nous n’avons pas l’habitude d’aller, mais qui vaut vraiment le détour ! Et bien sûr je ne vous parle pas de l’aspect gastronomique de cette croisière et des apéritifs communs avec les deux bateaux qui n’ont pas dérogé à la tradition des croisières de Voile et Croisière en Liberté ! »

27 juin au 10 juillet – Croisière Corse au départ d’Ajaccio

Un bateau – Sun Odyssey 389  – 6 personnes la première semaine et 5 la seconde. Yves-Michel : « Le virus covidien nous ayant tenu éloignés des ports et des îles au début de l’été 2020, il est facile d’imaginer notre bonheur d’avoir pu nous retrouver le dimanche 27 juin 2021 au port vieux Tino Rossi, à Ajaccio. Notre bateau Peewee nous attendait au quai, un Sun Odyssey 389.Il était convenu que la croisière se scinderait en deux parties : la première semaine, nous descendrions jusqu’aux îles Lavezzi, puis, après de nouveau une escale au port Tino Rossi pour changer en partie d’équipage, nous remontrions vers le nord jusqu’à Calvi…»